Inria Sophia Antipolis - Méditerranée, un exemple de participation active et novatrice à une politique de site universitaire

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Publié le 18 novembre 2020 Mis à jour le 9 février 2021
Date(s)

le 18 juillet 2019

portrait d'hommes et femmes
portrait d'hommes et femmes

En marge de la visite officielle de Frédérique Vidal, ministre de l'enseignement supérieur , de la recherche et de l'innovation et de Cédric O. Secrétaire d'état au numérique, Bruno Sportisse, PDG d'Inria a affirmé la volonté de l'Inria de se mettre au service du développement des sites universitaires.

Le 5 juillet dernier sur le site d'Inria Sophia Antipolis - Méditerranée, BPI et Inria France ont annoncé la signature d'un accord de coopération pour la création de Start-up dans le numérique, en présence de Frédérique Vidal, Ministre de l'enseignement supérieur , de la recherche et de l'innovation et Cédric O. Secrétaire d'Etat au numérique. 
L’objectif d’Inria est d’accompagner plus de 100 projets de start-up DeepTech numériques par an d’ici 4 ans. Il s’inscrit à la fois dans la stratégie de l'institut pour renforcer l’impact économique de la recherche par l’augmentation du flux de startups, portées notamment par des jeunes scientifiques, et dans le Plan Deeptech piloté par Bpifrance pour démultiplier les actions de soutien aux projets d’innovation de rupture issus notamment de laboratoires de recherche, et renforcer la compétitivité française.

Soutenir le développement de projets et start-up Deeptech numérique

L’accord conclu entre Inria et Bpifrance prévoit la mise en œuvre de plusieurs actions, avec notamment pour objectif majeur le soutien au développement de startups Deeptech numériques issues de la recherche publique. L’ensemble des actions sera mené en concertation avec les partenaires académiques de chaque site, de manière adaptée à chaque site, l’objectif étant de développer la dynamique d’innovation dans le numérique sur les sites universitaires.
Dans une interview accordée à l’AEF et publiée le 10 juillet dernier, Bruno Sportisse a réaffirmé la volonté d'Inria de "franchir le gué pour nous mettre pleinement au service du développement des sites universitaires par une politique construite de manière concertée avec nos partenaires et notamment le CNRS". Le prochain COP (contrat d’objectif et de performance) d’Inria aura pour mission de  renforcer "notre politique de site en nous mettant au service du développement des grands sites universitaires de recherche, au bénéfice de nos partenaires. » Selon le PDG d’Inria « nous aurons franchi une étape quand le centre de Sophia Antipolis s’appellera le Centre Inria de l’Université Côte d’Azur.»