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Elles ressemblent aux grands rendez-vous du football, du tennis ou de l’athlétisme. Les compétitions de esport remplissent de spectateurs déchaînés des stades gigantesques et ne manquent plus de sponsors. Les équipes ont leurs coachs et les commentateurs tiennent une place centrale dans le sucés des tournois. Pourtant, les parties disputées sur écran ressemblent souvent aux jeux qui se jouaient dans les années 80 dans l’intimité des chambres d’ados. Alors, en dehors du graphisme, qu’est-ce qui a changé en quarante ans ? Comment expliquer cette évolution ? -
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Si le premier confinement a été mal vécu par bon nombre d’entre nous, privés de sport, de relations sociales, de la liberté de circuler et parfois de celle de travailler, il semble avoir épargné au moins un secteur. Celui de la compétition en ligne, où les sportifs se trouvent aux commandes d’avatars opposés dans un jeu vidéo en réseau. Avec ses 7,3 millions de joueurs réguliers en France, le « esport » a donc de quoi questionner les non avertis. Dans un monde en recomposition, jusqu’où ira-t-il et mérite-t-il son appellation ? -
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Peut-être parce qu’ils pâtissent de toutes les mises en garde promulguées contre les écrans, les jeux vidéos sont perçus très différemment des jeux de société traditionnels. On s’inquiète de leur violence, de l’isolement des joueurs ou encore du risque de dépendance. Mais ces a priori reflètent-ils la réalité ?